dimanche 29 juin 2014

Se former et gérer une entreprise sont deux nécessités parfois difficile à faire coïncider . Heureusement, il y a le Mind Mapping.

apprentissage
Se former et gérer une entreprise sont deux nécessités parfois difficile à faire coïncider . Heureusement, il y a le Mind Mapping.
À une question sur la programmation informatique, l’entrepreneur ignare ne peut répondre que par un silence gêné. Ce qui l’agace prodigieusement. Problème, son agenda et son budget ne lui permettent pas de participer à une formation. Et l’ingurgitation de livres n’a jamais permis que de retenir entre 1 % et 10 % de son contenu.
Auteur, enseignant et spécialiste de l’entreprise, Pierre Mongin estime que le mind-mapping est l’avenir pour l’apprentissage. Sorte de carte mentale articulée autour d’une thématique précise, cet outil permet de « rendre visuelle l’organisation de vos idées qui sont implicites dans votre tête ». Autrement dit, de rendre visible ce qui est invisible à première vue.

Plus de données rébarbatives

Aux yeux de Mongin,  l’apprentissage au XXIe siècle « n’est plus une question d’accès à la connaissance ». Avec internet, tout le monde peut se procurer les données dont ils ont besoin. En revanche, cette donnée a besoin d’être contextualisée afin qu’elle devienne une véritable connaissance. « C’est cette intégration qui va être l’acte d’apprentissage », explique Pierre Mongin.
carte d'apprentissage - structure carte apprentissage
Grâce à des mots clés, des images, des couleurs, les concepts sont plus facilement mémorisés dans le cerveau. Terminées la liste de données rébarbatives mises bout à bout. Il ne reste qu’un diagramme logique, coloré et en harmonie avec le fonctionnement du cerveau humain. « Le Mind Mapping évite les inférences, c’est-à-dire les retours en arrière, ce qui soulage le cerveau ».

Approfondir grâce au lien hypertext

Reste après à articuler la cartographie dans le sens souhaité. Comme le dit drôlement Pierre Mongin : « si vous n’avez pas la structure du poulet en tête, vous allez le couper en saucisson ». Une remarque qui a le mérite d’être parlante.
Au final, le Mind Mapping repose sur quatre langages : les mots, les images, les couleurs et le lien hypertext. Ce dernier paramètre reste indispensable « si vous voulez approfondir une thématique ». En effet, avec cet outil il est toujours possible d’aller très loin dans le processus d’apprentissage. Il suffit d’ajouter une nouvelle branche à cet arbre de la connaissance.

samedi 28 juin 2014

Méthode itérative

Méthode itérative

En analyse numérique, une méthode itérative est un procédé algorithmique utilisé pour résoudre un problème, par exemple la recherche d’une solution d’un système d'équations ou d’un problème d’optimisation. En débutant par le choix d’un point initial considéré comme une première ébauche de solution, la méthode procède par itérations au cours desquelles elle détermine une succession de solutions approximatives raffinées qui se rapprochent graduellement de la solution cherchée. Les points générés sont appelés des itérés.
Les méthodes itératives contrastent avec les méthodes directes qui résolvent le problème en une seule étape (par exemple la solution d'un système linéaire Ax = b obtenue en calculant la matrice inverse de A).
Les méthodes itératives se substituent avantageusement aux autres lorsque :
  • celles-ci sont inapplicables, coûteuses ou simplement inconnues ;
  • le problème est mal conditionné ou comprend un grand nombre de variables, car les solutions successives limitent la propagation des erreurs.
Par contre, la question de la vitesse de convergence (ou encore d’une éventuelle divergence) reste cruciale : c’est l’objet d’un vaste champ d’investigations de l’analyse numérique.

Les journées du e-learning du JEL - 8ème - 26 & 27 Juin 2014



 

Des outils novateurs, des astuces et des pratiques à découvrir pour votre rentrée !

Mais on est bientôt en vacances ! Moi l’école j’oublie !
Certes mes chers lecteurs les vacances seront l’occasion de décrocher et ce pour notre plus grand bien.
Cependant les vacances sont aussi une des rares occasions qui nous est donnée d’avoir du temps !! Enfin nous avons LE temps !
Quand on est détendu, en vacances, on aime se plonger dans des nouveautés, des recherches de nouvelles pratiques ou de nouveaux outils. Je me suis donc proposé aujourd’hui de vous donner une multitude de pistes à explorer pour aborder une rentrée pleine de nouveautés !
En trois étapes je vous proposerai donc une liste non exhaustive :
  1. d’outils que j’utilise ou que je projette d’utiliser dans ma classe;
  2. des trucs et astuces pour vous faciliter la vie de classe;
  3. des nouveautés à essayer en terme de pratique.
Des outils que j’utilise en classe.
Tout d’abord j’utilise le désormais célèbre Tétra-aide de Bruce Démaugé qui permet aux élèves en début d’année de communiquer visuellement avec vous de leurs difficultés ou de leur aisance par rapport aux apprentissages en cours. J’ai conçu une variante de ce tétra-aide que j’ai baptisée l’étoile de compréhension. Chaque enfant dispose d’un Tétra-aide ou d’une étoile de compréhension sur sa table et dispose le sommet vers le haut qui correspond à son sentiment du moment.
Ensuite depuis plusieurs années j’utilise également des sous-mains que je plastifie et que je scotche sur les tables de mes élèves. Il s’agit de sous-mains de format A4 ou A3 où l’enfant peut venir « piocher » des informations. Pour un sous-main CP je place l’alphabet, le sens d’écriture de chaque lettre en cursive, les noms des couleurs, les consignes, les sons étudiés.Vous en trouverez des très bien chez Lilipomme, chez Orphéecole ou Lutin bazar. Voici un aperçu de quelques uns de mes sous-mains:
J’utilise aussi dans ma classe des bons points qui permettent de récompenser un effort particulier (soin, application, concentration, altruisme, émulation) ou le gain d’un Défi (compte est bon, vire-langues, sens d’un proverbe). Je me suis lancé dans l’ébauche en décembre de bons points magiques utiles également pour eux même. J’en ai construit sur les nouvelles et les anciennes merveilles du monde (Le Corcovado, les pyramides d’Égypte, la muraille de Chine, La tour de Pise, le Golden Gate de San Francisco). Ainsi mes élèves découvrent de manière détournée quelques uns des plus beaux monuments du monde et Hop un peu de culture générale de gagnée !!
Chez mes amis des Eklas vous en trouverez des très beaux : les bons points sur les Monsieur, Madame chez Oprhéecole
Coté coin rituel et affichages je vais vous recommander d’aller jeter un coup d’œil chez deux amies cyberprofsJardynalisse chez laquelle vous trouverez des dizaines d’affichages dans tous les domaines et tous plus beaux les uns que les autres et Mysticlolly. Chez cette dernière vous trouverez notamment une magnifique fusée des responsabilités et des dessins somptueux pour illustrer vos cours.
Les astuces pour vous faciliter la vie et le métier (en l’occurrence !)
  • pour minimiser le bruit des chaises allez voir le club de tennis du coin(faîtes comme moi et ma collègue : quémandez !) et mettez une balle de tennis à chaque barreau de chaise.
  • pour ne plus refaire systématiquement les étiquettes de vos cahiers et pour qu’ils soient uniformément présentés: j’ai crée ce petit fichier WORD qui vous fera de belles étiquettes de cahier.
  • pour économiser vos cartouches et imprimer à moindre frais je vous recommande la police ECOFONT.
C’est tout bête mais c’est une police avec des trous dedans il suffisait d’y penser et en dessous d’une taille de 14 on ne voit rien à l’oeil nu! Cela vous fera économiser jusque 50% d’encre et cumulé à des impressions en mode brouillon ou nuances de gris ça changera votre vie (en tout cas du coté du porte feuille)

  • Pour créer des Tutoriaux rapidement notamment pour vos séances en T.U.I.C.E je vous recommande un site assez récent et peu connu PEOPLEBRAIN super rapide, efficace, paramétrable, bref à adopter au plus vite.


Des pratiques à tester pour changer vos manières d’enseigner : (pour en savoir plus cliquer sur les titres)
  • La pédagogie du bonheur; voir l’élève comme un enfant et comme un humain avant tout, l’aider à se construire avant de penser à lui apprendre des connaissances.Privilégier le bien être de l'enfant
  • La pédagogie inversée : faire du travail à la maison un vrai moment d’enrichissement et un travail préparatoire construit pour mieux aborder les notions en classe et rebondir sur les recherches et questionnements des enfants.
  • la pédagogie inversée
  • La pédagogie par le jeu : maximiser le temps de jeu de vos élèves car le jeu est pour eux le meilleur et le plus sûr moyen de retenir ce que vous essayez de leur faire acquérir. Un enfant qui joue oublie qu’il est en train de travailler. Son esprit tout entier est tourné vers le jeu et il va mémoriser tout ce qu’il fait en faisant son jeu.
  • La sophrologie, la relaxation et le yoga : pour apprendre ou réapprendre à « prendre son temps, à respirer » Redonner un rythme humain à nos classes. Il s’agira aussi de pouvoir se détendre soi même et d’être ainsi pleinement disponible pour vos élèves.
  • Philosopher, philosophons même avec les enfants : les plus jeunes pour réaliser des séances d’éducation citoyenne où l’élève porte sa parole. Une parole qu’il a construit où sa réflexion est suscitée.
Voilà j’espère que vous trouverez votre bonheur (et celui de vos élèves) parmi ces quelques outils, trucs et astuces afin que notre métier soit toujours une passion !
Bien à vous,
Profitez bien de vos vacances j’en ferai de même,
Je vous donne rendez-vous en septembre pour de nouvelles chroniques.
 Sources : clique ici
Monsieur Mathieu

Apprendre autrement : MoocS et classe inversée

La clé interactive - apprendre - photo © Isabelle Gabrieli
MARCEL LEBRUN, Docteur en Sciences, Professeur en technologies de l’éducation et conseiller pédagogique à l’Institut de Pédagogie universitaire et des Multimédias (IPM) de l’UCL (Université catholique de Louvain, Belgique).
En quoi les Mooc et la classe inversée sont-ils des leviers pour apprendre autrement, quels repères mettre en place pour développer une Pédagogie 3.0 ?
Marcel Lebrun a abordé sa conférence en rappelant le rapport historique que l’homme entretient avec les technologies.
Ainsi, il a insisté sur le discours de Socrate, relaté par Platon (Phèdre 274e-275a), « savoir et mémoire viennent de l’écriture ». Et rappelant la parole du roi d’Egypte face au dieu Theuth, inventeur de l’écriture, il insiste sur la part d’appréhension, voire de rejet, qu’entraine l’avènement de toute nouvelle technologie. L’écriture dans son accès et dans son déploiement est une menace pour l’acquisition de la mémoire ancestrale :
Père des caractères de l’écriture, tu es en train, par complaisance, de leur attribuer un pouvoir contraire à celui qu’ils ont. Conduisant ceux qui les connaîtront à négliger d’exercer leur mémoire, c’est l’oubli qu’ils introduiront dans leurs âmes : faisant confiance à l’écrit, c’est du dehors en recourant à des signes étrangers, et non du dedans, par leurs ressources propres, qu’ils se ressouviendront ; ce n’est donc pas pour la mémoire mais pour le ressouvenir que tu as trouvé un remède. 
 Quel principe de cohérence ?
Marcel Lebrun a présenté le fondement de ce qu’il appelle « l’alignement constructiviste » : une équation qui met en interaction les méth-odes (Odes : chemin), les objectifs et les outils (cf. Alignement constructiviste de Biggs[1] (1999) relu par Marcel Lebrun[2] (2007)).
Cette équation propose de distinguer la diversité des champs investis dans l’apprentissage, fondement de ce principe de cohérence :
  • La diversité des outils comprenant les ressources, les informations, les outils de communication, de production…
  • Les méthodes qui mettent en scène des problématiques liées aux situations d’enseignement : présentiel/enseignement à distance, pédagogie de la collaboration, pédagogie de projet.
  • Les objectifs visés : cognitifs, méthodologiques, transversaux, relatifs à des compétences numériques

Objectifs : apprendre et enseigner

Marcel Lebrun a ensuite approfondi sa réflexion autour des conceptsapprendre/enseigner. Il souligne que cette interaction reste éminemment paradoxale dans toute situation d’apprentissage à l’école.
En effet, Apprendre fait appel à une diversité d’aptitudes et de capacités : écouter, acquérir, accroître, mémoriser, construire, organiser, modifier ses représentations, dégager du sens…
Enseigner, relève de la capacité à transmettre, faire passer, gérer, accompagner, favoriser…
Marcel Lebrun soutient que, lors de la progression des apprentissages, on ne peut pasapprendre quelque chose à quelqu’un, au mieux l’enseignant accompagne, car apprendre reste entièrement l’affaire de l’élève.
Si Enseigner c’est …
  • Transmettre de l’information
  • Faire passer un savoir
  • Gérer des interactions
  • Accompagner l’apprentissage
  • Favoriser un changement de conception
Alors il faut repenser la corrélation entre contenus/dispositifs/apprenants[3]
Dans le cadre des apprentissages numériques, communiquer, collaborer et créer sont des compétences indispensables à acquérir. La compétence étant définie comme un savoir constitué autour d’une action et d’un contexte précis.
On n’a pas le cerveau vide… on a le cerveau libre (Michel Serres) 

Marcel Lebrun a ainsi introduit dans son propos la progression dans l’introduction des technologies dans la classe selon le modèle SAMR[4].
Ce modèle propose quatre phases de progression/assimilation autour de l’usage des TICE dans la classe :
Substitution : sur une même tâche, une nouvelle technologie remplace une plus ancienne technologie – c’est le premier niveau d’usage (ex : remplacer Microsoft Word par Google docs.)
Augmentation : sur une même tâche, augmenter les fonctionnalités, complexifier l’usage de l’outil.
Modification : les différentes parties de la tâche sont modifiées via les TICE, ils participent de la réalisation d’une tâche importante.
Redéfinition : les TICE permettent la création de nouvelles tâches, autrefois impensables.

La formation peut-être ainsi regardée comme la mise à  disposition, pour le futur formé, d’occasions où il pourra apprendre. C’est un processus interactif et une activité intentionnelle (Brown & Atkins, 1988)
Par la suite, Marcel Lebrun a rappelé l’analyse proposée par Michel Serres dans la Petite Poucette : il n’y a plus rien à transmettre en terme de savoir[5]. La transmission doit donc se décaler et s’orienter sur les processus d’apprentissages connectés engagés pour l’apprenant du XXIe siècle.

21e S century learner
schéma sur les enjeux éducatifs du 21e siècle

Du socioconstructivisme au connectivisme – la genèse des Moocs


L’héritage du socioconstructivisme, comme l’a rappelé Marcel Lebrun, s’ancre dans la certitude que nous apprenons toujours tout seul mais jamais sans les autres.
Le connectivisme (Georges Siemens) se concentre sur les apprentissages connectés en mettant en relief :
-       L’apprenant et la variété des connaissances/compétences rencontrées au cours d’une carrière, parfois sans liaison, ni continuité.
-       La problématique des apprentissages par rapport à des métiers qui n’existent pas encore.
-       L’augmentation des situations d’apprentissage informel, avec des communautés de pratiques, des réseaux personnels, des activités de terrain.
-       La formation se fait tout au long de la vie avec une connivence entre les temps/espace de travail et d’apprentissage.
-       La Modification du « câblage cérébral » : changement dans nos façons de penser.
-       Le Savoir et le savoir-faire est en train d’être supplanté par le « Savoir où et quand ».
Dans cette réflexion, Marcel Lebrun a introduit la place du e-learning dans les apprentissages, à la fois comme une interface de médiation de ressources (TED, Khan Academy) que comme une médiation des interactions. Ces interfaces de e-learning sont préfiguratrices des Mooc.

Il y a Mooc et Mooc


Marcel Lebrun a ainsi abordé la place des Mooc dans les apprentissages connectés. Il a également précisé qu’à l’heure actuelle seuls 10% des étudiants vont au bout de leur Mooc. Il a enfin indiqué la différence entre un Mooc constructiviste, partant du savoir de l’enseignant, et un Mooc connectiviste, articulé autour du réseau et des échanges entre les apprenants où l’enseignant joue un rôle de facilitateur.
Ces plateformes offrent, pour Marcel Lebrun, des dispositifs d’hybridation et  d’innovation. Elles permettent de repenser les postures entre savoirs distribués et connaissances, savoirs et compétences, enseigner et apprendre,  formation initiale et continue… Elles proposent des espaces de souplesse et de créativité autour de la présence, de la mobilité et de la flexibilité des apprentissages.
Marcel Lebrun a insisté sur la dualité suivante : l’enseignement requiert une présence et l’apprentissage nécessite un rapport à la solitude.  En cela, les Mooc viennent contester ce paradigme. Il propose une recombinaison des temps et des lieux d’enseignement et d’apprentissage. Il s’inscrivent dans un nouveau rapport à la présence/distance d’enseignement et redéfinissent la relation enseigner/apprendre.

Lectures at home an homework in classes 

La notion très actuelle de flipped classroom (classe inversée) illustre bien cette hybridation. Elle propose dans ses schéma d’enseignement d’utiliser le temps à distance pour préparer les apprentissages et de profiter du temps présentiel pour mener avec les apprenants des activités problématisées (situations-problèmes). Ainsi, le temps de présence en classe est préservé, il est majoritairement orienté sur le partage, la collaboration, la construction collaborative du savoir et le débat participatif.

Classe inversée
Classe inversée : nouveau modèle d’apprentissage

Prolonger la réflexion sur les travaux de Marcel Lebrun :



[1] Biggs. J. (1999) Teaching for Quality Learning at University – What the StudentDoes (1st Edition) SRHE / Open University Press, Buckingham.
[2] Lebrun, M. (2007). Quality Towards an Expected Harmony: Pedagogy and Technology Speaking Together About Innovation. AACE Journal, 15(2), 115-130. Chesapeake, VA: AACE.
[3] Adapté de Kember (1997) in M. Romainville : L’échec dans l’université de masse. Paris : L’Harmattan, 2000
[4] Changing the conversation about teaching learning & technology a report on 10 years of acot research. En ligne surhttp://imet.csus.edu/imet1/baeza/PDF%20Files/Upload/10yr.pdf
[5] cf. Dialogue entre Michel Serres et Bernard Stiegler. Pourquoi nous n’apprenons plus comme avant ? en ligne sur : http://youtu.be/iREkxNVetbQ

vendredi 27 juin 2014

Le cadre pédagogique


Le cadre pédagogique de eDidaktik.dk peut constituer la base d'une évaluation de savoir si un outil numérique est adapté pour une utilisation dans une forme spécifique de l'enseignement. Le modèle est basé sur une distinction entre un monologue , une dialogique et polyphonique forme d'enseignement. Les trois formes d'enseignement sont dérivées de  MM Bakhtine nouvelle théorie de l 'apprentissage, et se distinguent par leurs différents points de vue sur la façon dont l'apprentissage a lieu, et par leurs perceptions différentes des relations entre la matière, l'enseignant et l'élève. Lors de la planification de son enseignement, l'enseignant doit prendre réflexions pédagogiques sur le but de l'enseignement, les objectifs d'apprentissage et les conditions préalables des élèves ainsi que les conditions techniques en compte, et l'utiliser pour choisir la forme de l'enseignement qu'elle veut pratiquer. À la lumière de ces réflexions, on peut choisir les outils d'apprentissage numériques, meilleur support de la forme choisie de l'enseignement.
Il didaktisk modèle | eDidaktik
Dans la suite, le monologue, la dialogique et les formes polyphoniques de l'enseignement sont représentés, avec des exemples de quels types d'outils d'apprentissage numériques, qui peuvent mieux soutenir eux.
  • La forme du monologue de l'enseignement

Dans la forme du monologue de l'enseignement de l'objectif est pour l'étudiant d'identifier avec l'enseignant et acquérir ses connaissances. L'enseignement est dans la forme du monologue, une question de l'enseignant, étant un représentant de la voix dominante de la société, la distribution de ses connaissances de l'étudiant, et l'apprentissage doivent être considéré comme l'identification de l'élève avec le point de vue de l'enseignant et son adaptation de ses connaissances. Communication au sein de cette forme d'enseignement devient ainsi monologique, et est complètement contrôlé par la voix dominante de l'enseignant.
Avant l'enseignement en classe l'enseignant définit des objectifs d'apprentissage clairs, et choisit le sujet, qui doit être travaillé et étudié en classe. L'objet est sélectionné dans un sens, de sorte qu'il distribue la quantité d'informations à l'élève, l'enseignant qui juge pertinent pour lui par rapport au sujet donné. Avec l'instruction de l'enseignant de l'élève, la diffusion de l'information au sujet de la matière est de veiller à ce que l'élève apprend excactemnt ce que l'enseignant a prévu pour lui d'apprendre.
Monologisk undervisning
Après avoir enseigné l'enseignant sera en mesure de comparer les résultats d'apprentissage de l'élève avec les objectifs d'apprentissage, qu'il avait défini avant l'enseignement ait commencé.
Outils de distribution en particulier sont pertinents, dans la forme du monologue de l'enseignement, où le transfert de l'information de maître à élève est un élément clé. En ce qui concerne l'évaluation des résultats d'apprentissage des élèves, des outils pour donner des tests standardisés sont également pertinents dans ce type d'enseignement.
  • La forme dialogique de l'enseignement

Dans la forme dialogique de l'enseignement de l'objectif est, pour la connaissance innée de l'étudiant à développer le dialogue avec la voix et la connaissance de l'enseignant. Dans la forme dialogique de l'enseignement, l'élève essaie ses propres connaissances et de l'expérience contre (dominante) la connaissance de la société, et l'enseignant agit comme superviseur et le guide dans ce processus. Communication au sein de cette forme d'enseignement devient ainsi dialogique, et est contrôlée principalement par la voix de l'étudiant.
L'enseignant choisit un sujet, ce qui pourrait permettre à l'étudiant de découvrir ce qui est pertinent dans le domaine, et de définir et de résoudre des tâches d'authentiques. Dans la situation d'apprentissage, l'étudiant choisit de travailler avec les parties de l'objet, qu'il trouve pertinentes, et il utilise cette partie de la matière de base pour résoudre les tâches confiées. S'il n'y a pas assez d'aide pour obtenir de l'objet par rapport à la résolution des tâches, il contacte le professeur, qui agira alors comme un guide.
Dialogisk undervisning
L'apprentissage le résultat de l'élève à partir d'une forme dialogique de l'enseignement peut être testé par des simulations, missions et écrites ouvertes, où l'étudiant peut montrer qu'il peut utiliser son expérience et les connaissances acquises dans des contextes différents.
Surtout des outils qui prennent en charge axée sur les problèmes du travail des élèves sont pertinentes, dans la forme dialogique de l'enseignement, où l'expérience de l'étudiant est l'élément clé. Simulations et jeux aussi d'apprentissage de pointe peuvent être pertinents dans ce type d'enseignement.
  • La forme polyphonique de l'enseignement

Dans la forme polyphonique de l'enseignement de l'objectif est, pour les étudiants et les enseignants à acquérir la compréhension et la connaissance mutuelle à travers le dialogue égal. La forme polyphonique de l'enseignement est basé sur l'idée que la connaissance est créée par un échange égal de la perception du monde de nombreuses personnes différentes de, et l'apprentissage est considéré comme la participation de l'élève dans cet échange mutuel de points de vue. Communication au sein de cette forme d'enseignement devient ainsi polyphonique, et est contrôlé par l'enseignant et les élèves.
L'enseignant et les élèves choisissent en collaboration de l'objet, qui doit être travaillé et étudié en classe. Ils sont égaux dans ce processus, et ils partagent une responsabilité égale pour produire de nouvelles connaissances dans le domaine donné ..
Polyfon undervisning
L'apprentissage de l'issue de l'élève ne peut pas être facilement mesurée ou testé dans ce type d'enseignement comme c'est le cas dans la forme du monologue de l'enseignement, mais d'autres peuvent ensuite tester la validité des connaissances produites dans la communauté de pratique, que cette connaissance contribuera à la connaissance accumulées dans l'ensemble du champ.

Surtout des outils qui favorisent la collaboration et la production de la connaissance mutuelle sont pertinentes, dans la forme polyphonique de l'enseignement, où l'égalité collaboration est un élément clé.
Vous pouvez en lire plus sur les fondements théoriques du modèle et les trois formes d'enseignement dans lma thèse de maîtrise Trois théories de la connaissance et de leur influence sur l'école et de la société (en danois - résumé en anglais. p 95
Sous le point de menu  Outils d'apprentissage numériques sont basées sur le cadre pédagogique présenté ici, et les articles fournit des suggestions sur la façon dont les outils peuvent être utilisés dans les différentes formes d'enseignement.

Sources : Edidktik